14 juillet: Ce matin, nous conduisons Huguette à la gare de Winnipeg. Nous tenons à la remercier pour sa participation à notre aventure depuis le 1er juin. Nous avons apprécié les services qu’elle a rendus à toute l’équipe, en corrigeant nos textes, faisant les achats requis pour nous nourrir et être la principale artisane de la cuisine depuis le début de notre périple. Nous souhaitons une belle fin d’été à Huguette.
Les cyclistes me racontent leur journée: "Nous sommes en pleine canicule et la nature est très sauvage. Heureusement, nous avons pu nous arrêter sur une propriété privée, pour manger à l’ombre. Le propriétaire, Perry Lafrenière, nous aperçoit et nous invite à rencontrer sa fiancée, Alexandra.
Après avoir mangé, nous continuons notre route ; plus tard, nous cherchons de l’eau pour nous rafraîchir. Nous apercevons une loge amérindienne près d’une rivière. Chantal prend une photo des sculptures faites par un amérindien et Gisèle profite de la rivière pour mouiller son gilet.


Nous poursuivons notre route et sommes envahies par des mouches à chevreuils ; c’est très énervant. Nous réussissons à les semer en pédalant à 33 Km à l’heure, sur une route raboteuse et cela, par une chaleur étouffante.
Nous tentons de rejoindre Pierre pour qu’il vienne nous chercher, mais les ondes des cellulaires ne permettent pas la communication. Nous devons compter uniquement sur nos forces pour rentrer à destination.
Nous arrivons à Elma épuisées et nous trouvons Pierre qui nous attend patiemment. Comme il n’y a pas de camping dans cette localité, nous poursuivons notre route en motorisé et nous en trouvons un à Prawda, où nous passons la nuit.
Nous avons roulé une distance de 76 Km. "
Les cyclistes me racontent leur journée: "Nous sommes en pleine canicule et la nature est très sauvage. Heureusement, nous avons pu nous arrêter sur une propriété privée, pour manger à l’ombre. Le propriétaire, Perry Lafrenière, nous aperçoit et nous invite à rencontrer sa fiancée, Alexandra.
Après avoir mangé, nous continuons notre route ; plus tard, nous cherchons de l’eau pour nous rafraîchir. Nous apercevons une loge amérindienne près d’une rivière. Chantal prend une photo des sculptures faites par un amérindien et Gisèle profite de la rivière pour mouiller son gilet.


Nous poursuivons notre route et sommes envahies par des mouches à chevreuils ; c’est très énervant. Nous réussissons à les semer en pédalant à 33 Km à l’heure, sur une route raboteuse et cela, par une chaleur étouffante.
Nous tentons de rejoindre Pierre pour qu’il vienne nous chercher, mais les ondes des cellulaires ne permettent pas la communication. Nous devons compter uniquement sur nos forces pour rentrer à destination.
Nous arrivons à Elma épuisées et nous trouvons Pierre qui nous attend patiemment. Comme il n’y a pas de camping dans cette localité, nous poursuivons notre route en motorisé et nous en trouvons un à Prawda, où nous passons la nuit.
Nous avons roulé une distance de 76 Km. "
Ce soir, nous couchons à Prawda, dans un magnifique camping, mais infesté de maringouins. Nous passons donc la soirée dans le motorisé.
15 juillet: La journée d’hier a été très éprouvante pour les cyclistes en raison de la canicule et elles décident aujourd’hui de ne pas rouler à vélo. Nous partons donc pour Kenora, à la frontière de l’Ontario.
Nous profitons du passage dans cette ville pour refaire nos provisions, aller à la banque et mettre à jour nos textes. Le camping municipal nous reçoit avec son dernier site disponible et nous profitons des quelques heures disponibles pour profiter du lac, le Lake of the Woods.


Nous sommes maintenant rendus en Ontario et le paysage est déjà très différent. Les routes sont plus sinueuses et la nature nous offre beaucoup d’arbres et de lacs.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire